C’est alors que je vis le Pendule.
Je n’avais jamais terminé ce roman d’Umberto Eco, mais le début m’avait tellement époustouflé que j’en avais appris le tout début par cœur. Et voila que tout à l’heure, par hasard, je me suis rendu compte que je l’avais partiellement oublié ce paragraphe, mais le pire c’est que j’en mélange les morceaux. Un tout petit paragraphe de rien du tout, et voila que 20 ans plus tard (argh !) je ne m’en rappelle plus !
Je ne résiste pas à l’envie de le réapprendre, et par la (...)
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